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De la musique pour les plantes

La fabuleuse histoire de la découverte de la musique des protéines

L’histoire fascinante de la découverte de la musique des protéines débute avec Joël Sternheimer, un scientifique et conseiller à la Cité des sciences de La Villette. Son approche innovante consista à utiliser le langage musical pour interagir directement avec les protéines végétales. Né en 1943 et titulaire d’un doctorat en physique quantique, Sternheimer était également célèbre dans le monde de la musique sous le pseudonyme « Les Varices » durant les années 1960. Dès les années 1980, il réalisa des avancées majeures dans son domaine. Les implications de cette découverte pour le monde vivant sont remarquables.

 

Et si la matière possédait des harmonies cachées ?

Après des années passées dans les domaines scientifique et musical, cet artiste-chercheur eut une révélation : et si la matière était en réalité rythmée par des harmonies ? Ses recherches ont démontré le rôle physico-chimique de la musique dans la croissance des plantes et dans le renforcement de leur système de défense. Pour le prouver, il a mené des expériences dans différents laboratoires et dans des champs où des haut-parleurs diffusaient des mélodies. Mêlant physique quantique et chanson à texte, Joël Sternheimer a ainsi mis en lumière la possibilité de soigner les plantes en les exposant à certaines mélodies.

Qu’est-ce qui pourrait être plus inspirant que de réaliser que la vie-même prend forme en musique ?

 

La mélodie des protéines

Cependant, il ne s’agit pas de n’importe quelle mélodie. Bien que dépourvues d’oreilles visibles, les plantes possèdent des millions de capteurs sonores répartis entre leurs racines et leurs feuilles, et elles réagissent à toute forme de vibration. Dans chaque cellule, les organismes vivants orchestrent continuellement la production, la consommation, l’activation et l’inhibition de diverses molécules, ces processus étant en partie régulés par des ondes.

Dans les années 80, accompagné d’experts : physiciens, biologistes, mathématiciens et musiciens, il explore les transpositions de ces harmonies dans le domaine du vivant : à chaque acide aminé parmi les 20 qui composent les protéines, il observe qu’une fréquence peut être associée. La science qui permet de les composer s’appelle la génodique.

Joël Steiner a ainsi découvert que chaque protéine (présente dans tous les êtres vivants) résonne avec une onde particulière. Les protéines forment une famille de molécules particulièrement importante pour les organismes vivants, assurant toutes les fonctions métaboliques et physiologiques, garantissant ainsi le bon fonctionnement des cellules et des organes. Sternheimer a identifié que les acides aminés des plantes émettaient des vibrations sonores. Il a donc entrepris de composer des partitions associant une note à chacun de ces acides aminés. Ainsi, chaque protéine, formée par une séquence spécifique d’acides aminés plus ou moins longue, peut être représentée par une partition musicale unique. Ces mélodies peuvent être reproduites sur un instrument de musique, la fréquence étant convertie en note. Les plantes ont alors été exposées à leur propre partition, ce qui a entraîné une augmentation de leur croissance et de leurs défenses de l’ordre de 25 à 60 %. L’exposition sonore idéale durait 5 minutes par jour. Cette musique a été baptisée « protéodie ». Ses compositions sont disponibles sur toutes les plateformes de musique sous le nom d’artiste « Evariste ». Il a ainsi créé « La protéodie », la musique des protéines.

Il a décrypté les hiéroglyphes du vivant en trouvant la mélodie de chacune des petites briques qui constituent la matière, tracant ainsi un chemin doux pour communiquer avec la nature. Les plantes se sont avérées être son terrain d’expérimentation idéal. En effet, chaque fleur est un laboratoire chimique en activité 24 heures sur 24.

Dès les premiers rayons du soleil, des capteurs thermiques indiquent à la plante de produire la protéine de croissance. Puis, dès la tombée de la nuit, lorsque la température chute, c’est au tour de la protéine inhibitrice de croissance de s’activer, connue sous le nom de « complexe du soir ». Sans elle, la plante pousserait indéfiniment et s’effondrerait sous son propre poids. Ainsi, la nature opère un arbitrage parfait entre agents stimulants et répressifs.

Les nombreux résultats obtenus lors d’expériences menées sur des dizaines d’espèces végétales et animales, et désormais appliqués dans de nombreux domaines, laissent espérer des applications en santé humaine.

Les plantes sont sensibles à la musique !

Différents types de musique, la musique indienne et la musique de Bach stimulaient considérablement la croissance des plantes. Certaines réagissant davantage à des mélodies de Mozart, tandis que d’autres préfèrent du Beethoven ou du Chopin.

Cette découverte suggère que la musique n’est pas uniquement une expression propre à l’humanité, mais qu’elle appartient à tout le règne vivant, ainsi qu’à l’inerte.

En outre, certaines protéodies présentent des similitudes frappantes avec les mélodies des oiseaux. Cette observation nous montre la perfection et la magie de la nature : les chants des oiseaux dans les haies, les arbres et les jardins contribuent à fortifier les plantes !

 

La génodique émerge comme une perspective prometteuse pour divers secteurs, comme la viticulture, l’arboriculture, le maraîchage, l’élevage et la pisciculture. Mais également pour les petits potager et les plantes intérieures de vos clients 😉 ! Grâce aux protéodies, il devient possible d’accroître la productivité tout en préservant l’intégrité de la planète et du vivant.

La protéodie est une forme de musique basée sur les fréquences des acides aminés qui composent les protéines. Cette découverte fascinante a été réalisée par Joël Sternheimer, qui a associé des notes de musique à chaque acide aminé, créant ainsi des mélodies uniques pour chaque protéine.

Joël Sternheimer, un scientifique et musicien, a exploré l'idée que la matière possède des harmonies cachées. À travers ses recherches, il a démontré que la musique pouvait influencer la croissance des plantes et renforcer leur système de défense. Il a ensuite associé des fréquences spécifiques à chaque acide aminé, créant ainsi la génodique et la protéodie.

Les plantes réagissent aux vibrations sonores, même si elles n'ont pas d'oreilles visibles. En exposant les plantes à leur propre partition de protéodie, elles ont montré une augmentation de leur croissance et de leurs défenses. Ces mélodies sont converties en notes de musique et diffusées par des haut-parleurs.

L'exposition à la protéodie a entraîné une augmentation de la croissance des plantes ainsi que de leurs défenses, allant de 25 à 60 %. De plus, différentes compositions de protéodies peuvent être utilisées pour cibler différents types de plantes et favoriser leur développement.

Oui, la protéodie a des applications potentielles dans divers secteurs tels que la viticulture, l'arboriculture, le maraîchage, l'élevage et même la santé humaine. Les effets de la musique sur les protéines pourraient avoir des implications importantes dans le traitement des maladies et des troubles métaboliques chez les humains.

Différents types de musique, y compris la musique indienne, la musique de Bach, Mozart, Beethoven ou Chopin, ont montré des effets bénéfiques sur la croissance des plantes. Cela suggère que différentes espèces végétales réagissent différemment à diverses compositions musicales.

Oui, certaines protéodies présentent des similitudes frappantes avec les mélodies des oiseaux. Les chants des oiseaux peuvent contribuer à fortifier les plantes, soulignant ainsi l'interconnexion entre différents éléments du monde vivant.

Les compositions de protéodies sont disponibles sous le nom d'artiste "Evariste" sur différentes plateformes de musique. Vous pouvez écouter ces mélodies et les utiliser pour expérimenter avec vos propres plantes ou dans d'autres applications agricoles.

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